On l’a tous remarqué, en France beaucoup recherchent les diplômes élevés pour espérer être recruter rapidement et avoir une salaire assez conséquent. Etudier rime donc à obtenir de diplômes sensés conférer un statut bien déterminé. En effet, un jeune ayant obtenu un licence se voit déjà salarié avec un minimum infranchissable. Et pourtant, il faut dire qu’avec les nouvelles technologies et l’entrepreneuriat grandissant dans les métiers d’internet, le diplôme perd peu à peu sa place. Plusieurs jeunes ayant appris dans le tas et acquis une belle expérience au fil du temps se montre plus efficaces dans les entreprises, et les cas ne sont pas isolés.
La place du savoir faire
Avoir un diplôme ne garantit pas en réalité les connaissances du candidat, ni un comportement exemplaire. Voilà pourquoi dans les pays comme le Canada, les employeurs s’intéressent sur les capacités concrètes des candidats afin de trouver celui qui remplira mieux les missions du poste. C’est donc depuis l’année 2015 environ que les tendances ont commencé à changer, au vu de l’incompétence de plusieurs diplômés. Ils sont plusieurs milliers aujourd’hui à être très performants et recommandables malgré le fait qu’ils soient autodidactes, et non sortis d’une école prestigieuse. Ils se forment aussi directement dans le milieu professionnel, ou même sur le tas petit à petit, au point d’acquérir des compétences pratiques impressionnantes et toujours actualisées. Les compétences peuvent être techniques, ou humaines, car un bon employé doit avoir à la fois les connaissances requises pour le poste, mais également l’attitude qui convient à l’idéologie de l’entreprise. Il est donc tant de mettre réellement l’accent sur le savoir faire.
